Les éoliennes s’échinent
A battre l’air
De leur grands bras
Fragiles,
Ames légères.
Le train file à travers champs
Son ombre glisse sur le décor
A la recherche de son port.
Les meules s’endorment dans le soir
D’un soleil caressant,
Bravant le noir.
A perte de vue,
Pauvres silhouettes errantes,
Perdues,
Percluses,
Avoisinantes.